Orkhestra International

Field recordings et nappes synthétiques ondulent, comme sur les albums précédents du musicien néo-zélandais au centre d’une forêt enchantée. Après Atmospheres, Coastlines et Woodlands, A Walk In The Shadow Garden est le récent environnement sonique concocté par RUDY ADRIAN, évoquant sur Dawn Redwood le martèlement du pivert, ou sur Hemlock Grove les scintillements de la lumière s’immisçant à travers les branchages entremêlés. Onze compositions ambient et suggestives apportent relaxation et régénération à l’auditeur comme à un promeneur à l’issue d’une balade en forêt.

Scènes de la Nature primitive et réparatrice : souffle du vent à travers les branches des arbres, averses sur l’eau d’une rivière ou d’un lac qu’éclairent les rayons de la Lune sont suggérés par les arpèges délicats du piano. Trilles de flûte rappelant le chant des oiseaux. Après Atmospheres, Coastlines et Woodlands et A Walk In The Shadow Garden, Reflections On A Moonlit Lake est le tout nouvel environnement sonique du musicien new age néo-zélandais. Une lumineuse et paisible aire de repos pour l’esprit agité.

LISANDRO ADROVER est compositeur et  arrangeur mais avant tout un virtuose du bandonéon. Né en Argentine en 1945, il a collaboré dans les années 60 avec des maîtres tels qu'OSVALDO PUGLIESE, JOSE BASSO, ROBERTO GOYENECHE, LEOPOLDO FEDERICO ou SUSANA RINALDI. Il a été récemment invité à écrire des arrangements de tango pour la section de cordes de l'orchestre de la radio néerlandaise, le METROPOLE ORCHESTRA.

STEFAN AEBY, piano, piano préparé, électronics

3e disque d’un pianiste helvète apprécié aux côtés de SARAH BUECHI et de CHRISTOPH IRNIGER. Abstractions, couleurs et matières n’ignorant pas le rattachement à la tradition comme en témoigne une très sensible reprise de Misty d’ERROL GARNER.

STEFAN AEBY, piano / ANDRE POUSAZ, contrebasse / MICHI STULZ, batterie

Premier disque d’un pianiste helvète apprécié aux côtés de SARAH BUECHI et de CHRISTOPH IRNIGER. D'une sonorité claire et tranchée, les compositions de To The Light adoptent, dans l'esthétique de la musique minimale, l'économie de jeu et la concision, libérant le temps et l'espace afin de mieux faire ressortir les sons.