Orkhestra International

JEAN-LUC PETIT, clarinette contrebasse / BENJAMIN DUBOC, contrebasse

Voyage au centre du spectre sonore, en deux plages enregistrées à l'église St Martin de Bignac en avril 2013. Le duo existait déjà avec un JEAN-LUC PETIT, saxophoniste ténor et baryton ; depuis que ce dernier est passé à la clarinette contrebasse, les fréquences sont devenues à tel point voisines, que les deux instruments sonnent parfois comme une seule et même créature grave remontant des abysses. La matière organique est épaisse, riche en grain (fréquences abrasives) comme en détails (dentelles harmoniques).

KAJA DRAKSLER, piano

Elève de VIJAY IYER et JASON MORAN, cette jeune pianiste slovène, établie à Amsterdam, transpose et réduit tout un orchestre symphonique à la taille de son clavier. Nouveau talent à découvrir.

KAJA DRAKSLER, piano / SUSANA SANTOS SILVA, trompette, bugle

Elève de VIJAY IYER et JASON MORAN, la jeune pianiste slovène, sous haute influence “taylorienne”, a rencontré la Portugaise SUSANA SANTOS SILVA au Culturgest de Lisbonne, le 22 mars 2015. Impressionnant !

Avec BJÖRK NIELSDOTTIR, LAURA POLENCE, ADA RAVE, AB BAARS, GEORGE DUMITRIU, KAJA DRAKSLER, LENNART HEYNDELS & ONNO GOVAERT

Le 3e opus sur Clean Feed de cette ancienne élève de VIJAY IYER et JASON MORAN, pianiste slovène sous influence “taylorienne”, dévoile en un plantureux double album toute une panoplie d'orchestrations pour octette de poèmes de PABLO NERUDA, ANDRIANA MINOU et GREGOR STRNISA, déclamés par les chanteuses BJÖRK NIELSDOTTIR et LAURA POLENCE. Piano, saxophones, violon, alto, contrebasse et percussions participent aux arrangements tandis que le répertoire est émaillé d'improvisations et d'une reprise poignante de Mirabile Mysterium du compositeur JACOBUS GALLUS PETELIN (1550-1591). Recommandé.

LAURA POLENCE et BJÖRK NÍELSDÓTTIR, chant / AB BAARS et ADA RAVE, saxophone ténor, clarinette / GEORGE DUMITRIU, violon, alto / KAJA DRAKSLER, piano, kalimba / LENNART HEYNDELS, contrebasse / ONNO GOVAERT, batterie, percussions

La pianiste slovène, sous influence “taylorienne”, creuse un filon découvert sur son 3e album, Gledalec (CF 417), sorti en 2017. En place de PABLO NERUDA et de quelques autres poètes, cette ancienne élève de VIJAY IYER et JASON MORAN illustre, d’une veine plus pastorale cette fois, les poèmes de ROBERT FROST à travers lesquels on surprend le souffle du vent faisant s’entrechoquer les branchages. N’y est pas étrangère l’utilisation délicate des guimbardes, kalimba et autres petites percussions enrichissant l’instrumentarium d’un octette international basé à Amsterdam.