Orkhestra International

MILFORD GRAVES et SONNY MORGAN, batterie, cloches, gongs, maracas, percussions, etc

Premier album sous son nom du compagnon de PAUL BLEY et du NEW YORK ART QUARTET qui contribua grandement à émanciper la rôle de la percussion dans le jazz. Enregistrés le 5 août 1966 pour le label ESP, en compagnie du percussionniste SONNY MORGAN, ces différents morceaux, inspirés par les musiques traditionnelles d'Afrique ou de l'Asie, ont été nommés en fonction du nombre de temps que comporte leur signature rythmique.

Avec MONTEGO JOE, DAVID "MOUSIE" EDMEAD, NICK KIRKSEY, OFFRE MARCHAND, MYLES MATTHEWS, JOHN MOODY, STAFFORD OSBORNE, ALLEN RAY, NELSON SANAMIAGO, ANTONIO SANTA CRUZ, ANDRE STROBERT, DENNIS TAITT et SAM TURNER

Le groupe fondé par MONTEGO JOE, dans le cadre d'un programme de réinsertion de la jeunesse à Harlem à la fin des années 60, offre un mix épatant des styles funk, soul, et latino. Des morceaux incendiaires, un groove monstrueux et un hommage à COLTRANE (Outa-train) mettent en exergue le son d’alto vibrant et lyrique de NELSON SANAMIAGO.

Avec DUKE ELLINGTON, COOTIE WILLIAMS, BARNEY BIGARD, JOHNNY HODGES, OTTO HARDWICKE, COUNT BASIE, BUCK CLAYTON, EARL WARREN, LESTER YOUNG, HERSHEL EVANS, FREDDIE GREEN, JOE JONES, LOUIS ARMSTRONG, ROY ELDRIDGE, JACK TEAGARDEN, COLEMAN HAWKINS, ART TATUM, T

Le premier cd de ce merveilleux coffret nous fait découvrir une jeune chanteuse de 20 ans, fraîchement débarquée de son Baltimore natal et propulsée dans ces formidables machines à swing que furent les big bands de DUKE ELLINGTON (1935) et de COUNT BASIE (1937). Les quatre autres disques couvrent l’ultime décennie (1949-1959) d’une trop courte carrière durant laquelle la perception du jazz évolua grandement grâce à l'arrivée d'un poste de radio ou de télévision dans chaque foyer américain. Les deux livrets compilent photographies émouvantes, commentaires sur le contexte historique des Etats-Unis au milieu du XXe siècle et la manière dont il affecta le parcours de la chanteuse, explications des textes de ses chansons, tel que Strange Fruit (dont le coffret nous réserve une version déchirante), ainsi qu'un listing chronologique des concerts et des passages radiophoniques de BILLIE HOLIDAY. A noter : la restitution d'une reprise au pied levé, de BILLIE et de ses amis, de My Yiddisha Mamma. Une anthologie aussi captivante qu'indispensable.

PETER STAMPFEL, banjo, violon, chant / STEVE WEBER, guitare, chant / LEE CRABTREE, orgue, piano / SAM SHEPARD, batterie / WENDY, ANTONIA et BARBARA, chant

Les HOLY MODAL ROUNDERS marquèrent leur temps grâce à la chanson-hymne “Bird Song” du film Easy Rider. Et resteront certainement comme le groupe de folk psychédélique le plus allumé des sixties. Leurs loufoqueries sonores générèrent quelques instants de pure magie, les rapprochant des MOTHERS OF INVENTION ou des FUGS, que rejoignirent d'ailleurs un temps PETER STAMPFEL et STEVE WEBER. Indian War Whoop est leur troisième album studio dans lequel un certain SAM SHEPARD, devenu depuis auteur-acteur-scénariste à succès, s'associe au duo STAMPFEL / WEBER. Et à partir duquel la musique prit une tournure nettement plus rock. A côté des disques des GODZ ou du VELVET UNDERGROUND, Indian War Whoop est un classique de l'acid-rock new-yorkais à découvrir et à redécouvrir !

PETER STAMPFEL, banjo, violon, chant / STEVE WEBER, guitare, chant

Les HOLY MODAL ROUNDERS marquèrent leur époque grâce à la chanson-hymne “Bird Song” du film d'Easy Rider, et resteront certainement comme le plus allumé de tous les groupes de folk psychédélique des sixties. Leurs loufoqueries sonores générèrent quelques instants de pure magie, qui purent les rapprocher des MOTHERS OF INVENTION ou des FUGS, groupe que rejoignirent d'ailleurs un temps PETER STAMPFEL et STEVE WEBER. Ce live jusqu'ici inédit de 1965 propose un panaché de chansons extraites de leurs albums Prestige et ESP : Fishin' Blues, Random Canyon, Indian War Whoop, Going to Memphis, Monday Morning, Sugar in the Ground, Black Eyed Suzy, etc.