Orkhestra International

Le compositeur, pianiste, voyageur STEVE BERESFORD, déploie un esprit remarquable de charme et préciosité. Vétéran d'innombrables groupes comme les Slits ou les Melody Four, il a concentré ses efforts sur des compositions pour le cinéma et la télévision que l'on retrouvent dans ce disque. Etranges sambas, jazz nerveux, mélopées mélancoliques...

KARL BERGER, piano

Issu de la génération pure et dure du free-jazz teuton (celle de MANGELSDORFF, HAMPEL et BRÖTZMANN), le vibraphoniste et pianiste de jazz KARL BERGER est principalement connu pour avoir monté, dès son arrivée aux USA, la NEW YORK TOTAL MUSIC COMPANY (en compagnie de DON CHERRY), puis, en 1971 avec ORNETTE COLEMAN, la CREATIVE MUSIC FOUNDATION. Directeur du Creative Music Studio à Woodstock qui compta au rang de ses enseignants JOHN CAGE, LEE KONITZ, STEVE LACY ou GEORGE RUSSELL, KARL BERGER nous délivre un récital pianistique intime et émouvant, regroupant 17 miniatures sonores (courtes variations et études) à mi-chemin entre jazz et musique contemporaine.

KARL BERGER, piano / JOE FONDA, contrebasse / HARVEY SORGEN, batterie

De la génération pure et dure du free-jazz allemand (aux côtés de MANGELSDORFF, HAMPEL et BRÖTZMANN), KARL BERGER est l’artisan de la NEW YORK TOTAL MUSIC COMPANY (en compagnie de DON CHERRY), puis, en 1971, cette fois avec ORNETTE COLEMAN, de la CREATIVE MUSIC FOUNDATION. Suite en sept mouvements associant ballades rubato et tempi free-bop plus nerveux.

Avec KARL BERGER, KEN FILIANO, SANA NAGANO, JASON HWANG, LARRY PACKER, TOMAS ULRICH, GABRIEL DRESDALE

De la génération pure et dure du free-jazz allemand (aux côtés de MANGELSDORFF, HAMPEL et BRÖTZMANN), KARL BERGER est l’artisan de la NEW YORK TOTAL MUSIC COMPANY (en compagnie de DON CHERRY), puis, en 1971, cette fois avec ORNETTE COLEMAN, de la CREATIVE MUSIC FOUNDATION. Le 3e album de sa trilogie pour Tzadik confronte le piano aux cordes frottées sur quatorze compositions de sa plume.

BORAH BERGMAN, piano

Ces ballades, réminiscences de GLENN GOULD et de BILL EVANS, enchevêtrent lyrisme et transe méditative. Un document d'une rare densité par un grand pianiste hélas disparu en 2012.