Orkhestra International

Natif de San Diego, le musicien et producteur TATUM RUSH fait tout par lui-même. Il fut autrefois le bassiste de GREAT BLACK WATERS. Sur scène l'accompagnent les batteurs DOMI CHANSORN ou LUCA MARINI. Guru Child, disque de soul tellement fondante qu'on pourrait la confondre avec une pop easy-listening propre à servir de fond sonore au lobby d'un hôtel 5 étoiles à Dubaï, clôt un chapitre de son odyssée musicale entreprise en 2011 lorsqu'il enregistra au studio de BJÖRN MAGNUSSON au village de Brunnen en Suisse à côté du fameux temple du MAHARASHI MAHESH YOGI que visitèrent dans le passé les BEATLES et DAVID LYNCH.

5e album de SHELLEY SHORT (une voix  comparable à celles de JOANNA NEWSOM, MARIEE SIOUX ou WHITE HINTERLAND) assistée d'une équipe de rêve : ALEXIS GIDEON + les membre des DECEMBERISTS et de BRIGHT EYES. Ciselées et chaleureuses, les douze miniatures folk-pop de la chanteuse de Portland raviront les amateurs de KATE BUSH, KRIS KRISTOFFERSON ou DOLLY PARTON.

Duo italien pratiquant une électro mâtinée d'ambient, d'indus et de post-rock. Des pincées de MOGWAI, de SIGUR ROS ou de RYAN FARISH, assaisonnent la mixture de nos deux Italiens. Neuf compositions charpentent le nouvel opus, les guitares saturées ayant pour mission de trancher l'électro-rock qui sert de dénominateur sonore commun. Ainsi SIXTH MINOR démontre qu'il est possible de construire une musique électronique loin d'être rébarbative, propre à séduire un public large.

Télescopage de deux mondes : celui de SOLE, légende du rap indies et co-fondateur du label Anticon, et celui du producteur et DJ, DJ PAIN 1. Nouvel opus suite à Death Drive, album de 2013 qui familiarisa les lecteurs de Spin, Tinymixtapes, Alarm Magazine, Skinny UK, Rap Reviews, Penny Black Music et autres Get Your Buzz Up avec un duo anti-capitaliste et engagé, se présentant comme pionnier indie hip-hop et “certified scratch” (sic), et prônant un retour à l'instrumentarium classique (soit deux platines et un micro).

Quatre ans après Note-Book, TAZIO & BOY choisissent de produire chez eux, face à l'océan,  cet “hiver en chambre” à quatre mains, mélancolique, marqué par le temps qui passe inéluctablement, l'absence, le doute et l'espoir. Dans la lignée de LOW, SWELL, SMOG ou GALAXIE 500, les chansons de Winter In The Room se parent d'atours plus luxuriants et d'arrangements plus fouillés que par le passé, tout en conservant une empreinte farouchement lo-fi et do it yourself, qui reste la règle de fabrique créative du duo breton.