Orkhestra International

CARLO ACTIS DATO, saxophones ténor et baryton / BEPPE DI FILIPPO, saxophones alto et soprano / MATTEO RAVIZZA, contrebasse / DANIELE BERTONE, batterie

Jazz imaginatif et jubilatoire, latin comme sans frontières. La 15e réalisation du saxophoniste italien sur Leo.

Avec VALERIA PILIA, ELISA MARONGIU, MANUELA RAGUSA, ROBERTA LOCCI, VALERIA PARISI, SAINKHO NAMTCHYLAK, AMBROGIO SPARAGNA, TENORES DI BITTI, RAFFAELLO SIMEONI, REDI HASA et ORLANDO MASCIA

Le chœur féminin entrainé par VALERIA PILIA célèbre la vie et le courage des femmes de Sardaigne à travers un répertoire de berceuses, de chants de travail, de psaumes, d'incantations aux vertus guérisseuses, enradiquant les maladies et dissolvant les peurs. Entre autres invités prestigieux : SAINKHO NAMTCHYLAK (chant de gorge), AMBROGIO SPARAGNA (mélodéon), TENORES DI BITTI (chœur d'hommes), RAFFAELLO SIMEONI (saxophone), REDI HASA (violoncelle) et ORLANDO MASCIA (launeddas). Que du beau monde ! Galanìas en sarde signifie :  “préciosités” ou “raretés”.

DAVE PAVKOVIC, batterie / TATSU AOKI, contrebasse

La section rythmique de Chicago se produisit fréquemment en concert de 1994 à 2004, que ce soit dans un contexte post-rock, free jazz (avec NICOLE MITCHELL) ou de musiques de scènes. On ressent l’influence des ex-partenaires de TATSU AOKI (en l’occurrence FAMOUDOU DON MOYE et ROSCOE MITCHELL) sur son jeu, comme celles de WILLIAM HOOKER et HAMID DRAKE sur celui de DAVE PAVKOVIC.

Avec DIEGO GALERI, ALESSANDRO DEIDDA, EDOARDO “DOUBLE T” BARBOSA, GIOVANNI CALELLA et SILVIA OTTANA

Quintette instrumental milanais fondé en 2011 et à l'esthétique proche de l'électronica et du post-rock. Parabolas est son 2e disque.

A l’intersection exacte des parcours de COWELL (pour la polyrythmie) et de FELDMAN (pour son sens de l’espace), la musique d’ADAMS, ce résident d’Alaska, charrie des icebergs de beauté froide sur lesquels soufflent les vents arctiques. Ces trois pièces éminemment atmosphériques (The Light That Fills the World, The Immeasurable Space of Tones et The Farthest Place) mêlent les timbres de la clarinette basse, du marimba, du vibraphone, du piano, de l’orgue, du violon et de la contrebasse. Il est bien sûr ici question de lumière venue du Grand Nord.