Orkhestra International

PAUL KENDALL, saxophone baryton / GEORGE GRUND, piano / ROY CUMMING, basse / RUDY PETSCHAUER, batterie

Succédant à Whisper Not (ZM 202401) paru début 2024, My Shining Hour est le tout nouvel opus du saxophoniste PAUL KENDALL. Cette fois au baryton, revisitant sa relation initiale au saxophone puisque l’instrument donnait de la couleur et de son énergie à FILHARMONIC, son groupe de funk de Long Island du mitan des années 80. Répertoire de standards auquel s’attèle un majestueux quartette : You Stepped Out Of A Dream / All Of You / Everything Happens To Me / My Shining Hour / Confirmation / It Could Happen To You / Desafinado / etc

PAUL KENDALL, saxophone / RUDY PETSCHAUER, batterie / DAN KOSTELNIK, Hammond B3

Excellent trio orgue, batterie, saxophone au répertoire de style bebop : Embraceable You / These Foolish Things / Airegin / Whisper Not / etc. La composition personnelle Quick Drink s’inspire de What Is This Thing Called Love.

Virtuose incontesté de l’instrument, égal d’un ALI AKBAR KHAN, référence ultime en matière de sarode, AMJAD ALI KHAN, fils de USTAD HAAFIZ ALI KHAN, s’est souvent produit en concert en Occident. Il fait ici équipe avec le sarodiste AMAAN ALI BANGASH (déjà présent sur l’excellent Strings For Peace, ZM 202004 paru en 2020), le percussionniste SHANE SHANAHAN (du SILKROAD ENSEMBLE de YO-YO MA) et la joueuse de pipa, WU MAN, soliste pour laquelle ont dans le passé écrit TERRY RILEY, PHILIP GLASS et LOU HARRISON. En dépit de traditions comme de formes différentes, notons que la pipa et le sarode font partie des instruments les plus nobles des cordes pincées (luths, etc).

Avec CARLOS MALDONADO

Née à Morioka dans un famille de joueurs de koto, la Japonaise KUMI KUROSAWA déménagea à New York en 2002. Produit par KABIR SEGHAL, le disque Metamorphosis célèbre la beauté du Pays du Soleil Levant, rendant plus particulièrement hommage à la période exquise des cerisiers en fleurs.

DIMITRI LANDRAIN, piano / JIM ROBERTSON, contrebasse / KEITH BALLA, batterie

Pianiste français installé à New York, DIMITRI LANDRAIN confesse une fascination sans bornes pour le Brésil et l’Argentine, et séduira les amateurs d’ASTOR PIAZZOLLA, ANTONIO CARLOS JOBIM et BILL EVANS, tant son latin jazz avec leurs œuvres s’apparente. De ce répertoire se distinguent la tendre et mélancolique ballade Lovers in the Rain comme un délicat et vibrant hommage à BILLY STRAYHORN, Waltz For Billy.