Né dans le Mississippi à la fin du XIXe siècle, WALTER E. FURRY LEWIS est le personnage du Furry Sings the Blues auquel se référait la chanteuse JONI MITCHELL sur son disque Hejira. Le bluesman qui se servait de sa guitare comme d’un tambour ou d’une walking bass fut comme beaucoup de ses pairs de la même génération redécouvert à la fin des années 50, sa carrière bénéficiant d’un second souffle bienvenu. C’est grâce à JIMI HENDRIX qui le signala à un certain JIM NASH que put être organisé ce concert au Gaslight de New York en 1971. Cette toute première réédition en CD intéressera les fans de folk-blues, de ROBERT JOHNSON à MUDDY WATERS, en passant par JOHN LEE HOOKER, SON HOUSE et CHARLIE PATTON.
C’est le cinéaste et compositeur ED BLAND qui produisit ce set jazz-funk en 1969. Au cours de ce répertoire enjoué figurent également des morceaux RnB et gospel tels Rutabaga Pie, Pot Licka et Turnip Tops et des morceaux pop-jazz comme Chicken Giblets, Casbah Melon, Clabber Biscuits et Turkey Fan. Soul & Salvation annonce le non moins groovy The Real Thing (SCO 5683) sorti l’année suivante. Bien sûr et à tous points de vue, l’art de GILLESPIE, loin du bebop des débuts, défie toute tentative d'être cloisonné dans un style musical particulier.
C’est le cinéaste et compositeur ED BLAND qui produisit ce set jazz-funk en 1969. Au cours de ce répertoire enjoué figurent également des morceaux RnB et gospel tels Rutabaga Pie, Pot Licka et Turnip Tops et des morceaux pop-jazz comme Chicken Giblets, Casbah Melon, Clabber Biscuits et Turkey Fan. Soul & Salvation annonce le non moins groovy The Real Thing (SCO 5683) sorti l’année suivante. Bien sûr et à tous points de vue, l’art de GILLESPIE, loin du bebop des débuts, défie toute tentative d'être cloisonné dans un style musical particulier.