Orkhestra International

Voyage au cœur de l'Amérique marginale et décadente profonde. La poésie nihiliste de cette dissidente au long cours s'exprime dans un décor urbain névrosé que colore la bande-son schizophrène de J. G. THIRLWELL. Dérangement, insolence et provocations verbales de tous ordres sont au programme de ce film truculent de JOE TRIPICIAN.

“La grandeur d'un homme ne se mesure pas à sa fortune mais à son intégrité ainsi qu'à sa capacité de faire du bien à son entourage”. Celui qui a vendu à ce jour plus de 75 millions albums, reste, longtemps après sa disparition, l'un des musiciens les plus adulés au monde. One Love / Love And Affection / Mega Dog / Donna / Lonesome Feeling / It Hurts To Be Alone / Who Feels It / Dancing Shoes / Lonesome Track / Mr. Brown

Dix chansons d’une des plus grandes vocalistes de jazz du XXe siècle, partenaire de BENNY CARTER, MERCER ELLINGTON, COUNT BASIE, SAMMY DAVIS JR., DAVE BRUBECK et LOUIS ARMSTRONG, etc… You Are the Sunshine of My Life / You and I / Masquerade / It's the Good Life / There Will Come a Time / etc

C’est par hasard que le réalisateur MICHAEL PATRICK KELLY rencontra PAUL MOTIAN lors du tournage d’un documentaire dans l’Upper Westside de New York. Intrigué par la carrière du musicien, il filma ensuite deux sets de l’ELECTRIC BE BOP BAND au Birdland. S’ensuivirent des interviews, un jogging partagé à Central Park, des virées en taxi dans Manhattan, etc, jusqu’en 2010, année au cours de laquelle le batteur put visionner les premiers rushs alors que dans le même temps il venait d’être diagnostiqué d’un syndrome myélodysplasique, trouble malin de la moelle osseuse. A sa disparition en novembre 2011, MICHAEL PATRICK KELLY se retrouva dans l’incapacité émotionnelle de poursuivre le projet ...jusqu’en 2015, où il put revoir les films et à en reprendre peu à peu le montage. BILL FRISELL et JOE LOVANO, ultimes collabarateurs de MOTIAN, furent interviewés, afin d’apporter les compléments nécessaires à cette biographie d’un formidable coloriste de la batterie jazz.

C’est par hasard que le réalisateur MICHAEL PATRICK KELLY rencontra PAUL MOTIAN lors du tournage d’un documentaire dans l’Upper Westside de New York. Intrigué par la carrière du musicien, il filma ensuite deux sets de l’ELECTRIC BE BOP BAND au Birdland. S’ensuivirent des interviews, un jogging partagé à Central Park, des virées en taxi dans Manhattan, etc, jusqu’en 2010, année au cours de laquelle le batteur put visionner les premiers rushs alors que dans le même temps il venait d’être diagnostiqué d’un syndrome myélodysplasique, trouble malin de la moelle osseuse. A sa disparition en novembre 2011, MICHAEL PATRICK KELLY se retrouva dans l’incapacité émotionnelle de poursuivre le projet ...jusqu’en 2015, où il put revoir les films et à en reprendre peu à peu le montage. BILL FRISELL et JOE LOVANO, ultimes collabarateurs de MOTIAN, furent interviewés, afin d’apporter les compléments nécessaires à cette biographie d’un formidable coloriste de la batterie jazz.Sous-titres en français.