Orkhestra International

BYRON ALLEN, saxophone alto / MACEO GILCHRIST, contrebasse / THEODORE ROBINSON, batterie

Enregistré l'après-midi du 25 septembre 1964, ce premier disque (trésor oublié) de BYRON ALLEN, recommandé par ORNETTE COLEMAN au label ESP (comme en rappelle l'intitulé du morceau : Decision for the Cole-Man) sera suivi d’un 2e disque du même saxophoniste quinze ans plus tard.

HARRY ALLEN, GARY SMULYAN, GRANT STEWART et ERIC ALEXANDER, saxophones / ROSSANO SPORTIELLO, piano / JOEL FORBES, contrebasse / KEVIN KANNER, batterie

A la façon de WOODY HERMAN pour Four Brothers, le quatuor le saxophones swing idéal se compose de trois ténors et d'un baryton. Ici soutenu comme dans les big bands d'une section rythmique active. Douze diamants sur écrin de velours : Four Brothers / After You've Gone / Nobody's Heart / I Wished On The Moon / etc

MOSE ALLISON, piano, chant / TOM RUTLEY, contrebasse / JERRY GRANELLI, batterie

Le répertoire de ce pianiste de blues et de jazz (1927-2016), personnage mythique puisqu’il accompagna STAN GETZ, SONNY BOY WILLIAMSON, ZOOT SIMS, VAN MORRISON et tant d’autres, fut repris par les CLASH, ELVIS COSTELLO, JOHN MAYALL, MANFRED MANN, CACTUS, LEON RUSSELL, BONNIE RAIT, etc. Se rappeler la reprise corrosive de Young Man Blues du Live at Leeds des WHO. La chanson était de lui ! Épatant concert à Silver Springs le 26 mars 1978.

LIVIO ALMEIDA, saxophone ténor / MISAEL SILVESTRE, claviers / DANIEL CASTRO, basse / PEDRO ALMEIDA, batterie

Saxophoniste de l’orchestre d’ARTURO O'FARRILL, ce musicien basé à New York a enregistré son nouvel album en quartette à Brasília (sa ville de naissance), suite du disque Action and Reaction que son employeur FARRILL produisit en 2016. Samba jazz du meilleur cru.

Ancien joueur de foot-ball devenu avocat, le chanteur turc ALPAY NAZIKIOGLU reprit au début des années soixante beaucoup de chansons de variétés italiennes et françaises. Crème de la crème, cette collection de hits de l'auteur d'Eylülde Gel et de Fabrika Kızı, piochés entre 1970 et 1974, période où son inspiration fut la plus authentique, mêle mélodies traditionnelles anatoliennes et solos de guitares électriques énervés au sein de productions psychédéliques dont les outrances et le kitsch vont incontestablement au-delà de celles de BARIS MANCO ou d'ERKIN KORAY.