Orkhestra International

Avec GUIDO DEL FABBRO, SIMON LAPOINTE, ANTONIN PROVOST et NEMO VENBA

Alliage de défoulement et d'introspection, entre rock canterbury et musiques improvisées - le champ est large - produit au moyen d'un instrumentarium à base de violon, claviers, guitare et batterie. Le rendu sonore est captivant à l'image de la très belle pochette style Bauhaus signée MARTIN TÉTREAULT.

IGNAZ SCHICK et MARTIN TETREAULT, tourne-disques, laptop, objets

Nouvelle rencontre entre le Montréalais MARTIN TETREAULT et le Berlinois IGNAZ SCHICK, tous deux reconnus pour leur approche unique du tourne-disque (qu'ils utilisent sans microsillon, leur préférant un panel d'objets divers et variés, et tout le savoir-faire de manipulations originales qu’ils ont développé au fil des ans). Fondé en 2004 à la Gallery for Radiophonic Art de Munich, le duo poursuit son travail de frictions sonores, attentionné et organique, à mille lieues des technologies high-tech de pointe.

TAKUMI SEINO & ANTOINE BERTHIAUME, guitares électriques

Enregistrée à Kobe en juillet 2005, cette session rapporte la première rencontre entre deux expérimentateurs surdoués de la 6 cordes.

Le tombak, ou zarb, est l’instrument de percussion utilisé dans la musique savante persane. Taillé dans un seul morceau de bois, ce tambour se joue à mains nues. La souplesse et la vélocité des mains, conjuguées aux mouvements des poignets et des doigts, permettent au musicien une extraordinaire étendue de timbres et de couleurs. “La quête de soi, le désir de créer et l'envie de dépasser mes limites m'amènent à sortir le tombak de son cadre traditionnel. La recherche de nouveaux sons, l'approche parfois non métrique et parfois cyclique des motifs musicaux créés par des lignes horizontales, verticales ou circulaires, aux pulsations variables et aux couches sonores multiples, étendent mon vocabulaire“ (ZIYA TABASSIAN).

ELIO MARTUSCIELLO, guitare et électronics / GERAZIANO LELLA, ordinateur / ROBERTO FEGA, électronics

Esthétique électro-bruitiste ? Cette taxonomie qui compile bruits concrets, effets électroniques abstraits et passages purement acoustiques décompose soigneusement le tout en ses parties et révèle une ligne d’ombre insoupçonnée entre osmose et isomorphisme.