Orkhestra International

WADADA LEO SMITH, trompette, bugle / MIN XIAO-FEN, pipa, chant / PHEEROAN AKLAFF, batterie

“ISHMAEL WADADA LEO SMITH arpente le « jahzz » ainsi orthographié par lui-même comme il sillonne le monde : en l'inventant. La polysémie du terme (inventer veut aussi dire découvrir) va comme un gant à ce trompettiste méconnu, aventureux, savant et funambule dont la sonorité n'a rien à envier, sur le plan du lyrisme et de la densité émotionnelle, à celle de MILES (…) Que les connotations anthropo-ethno-philosophiques indissociables de la musique de WADADA LEO SMITH n'effraient pas l'amateur. Sur ce Dark Lady of the Sonnets (très belles interventions de PHEEROAN AKLAFF sur le frénétique Cosmos Beauty) elles ajoutent simplement une dimension consciente à ce qui se présente à l'oreille comme une irruption de l'inattendu, d'une beauté inattendue, de la beauté de l'inattendu” (FRANÇOIS-RENÉ SIMON / Jazz Magazine-Jazzman).