ERIC BROCHARD, contrebasse / JEAN-LUC GUIONNET, saxophone alto / EDWARD PERRAUD, batterie
“Vous ne pouvez définir aucune scène. Un Poète descripteur y serait perdu. Racontez donc cette histoire : gestes géomantiques, arpentage de champs divinatoires, toute une herborescence dont le style échappe sèchement à la sentimentalité. On jalonne des aires que seule régit la trame (cette trame impitoyable par-dessous, qui est la résistance, la raison d'être de cette musique) (…) (HERVE PEJAUDIER)