“Entouré des frères LUCACIU, le batteur propose un album-concept pouvant s’envisager comme une suite en douze parties, un poème percussif où des combinaisons structurales complexes côtoient des formes d’écritures plus maîtrisées, voire apaisées, sans jamais se départir du swing ni de la théâtralité du propos (…) La musique s’aventure même dans des territoires chers à ALBERT AYLER où le saxophone libertaire trempée de blues d’ANTONIO LUCACIU fait merveille. (THIERRY P. BENIZEAU / Choc Jazz Magazine)