PHILIP BARTELS, DURI COLLENBERG, SIMONE KELLER et LUKAS RICKLI, pianos
L’un des rares compositeurs à avoir taillé une brêche entre minimalisme et musique populaire, JULIUS EASTMAN, né en 1940, s’éteignit dans une indifférence quasi générale en 1990. Ses œuvres ont commencé à être redécouvertes, principalement grâce à GEORGE LEWIS et au label New World, autour de 2005. La Fugue n°. 7 (1983), Evil Nigger (1979), Buddha (1984) et Gay Guerrilla (1979) du pianiste afro-américain ont été interprétés par un quatuor de pianistes helvètes, ovationnés lors d’une première au Megaro Mousikis d’Athènes en 2017.