On a découvert cette étoile montante du jazz portugais via les disques Nebulosa (2010), Particula (2012) et Grand Valis (2015). Suite à un hiatus de sept années, le contrebassiste HUGO CARVALHAIS revient en force avec Ascetica, plongeon au centre de notre intériorité la plus secrète, là où l’énigme des fonds abyssaux est depuis la nuit des temps invariablement questionnée par l’émerveillement, la beauté, la peur, l’étrangeté et le mystère. Bel exemple d’un jazz européen de verve ultra-engagée.