Orkhestra International

Avec PETER BRÖTZMANN...

Le seul CD actuel de BENNINK en solo enregistré en 1973, époque où il utilisait un attirail de percussions gigantesques : batterie, tablas, boites à rythme, percussions métalliques..

HAN BENNINK, batterie, percussions / KEES HAZEVOET, piano, clarinette, etc

Session de 1978 réunissant le géant batave de la musique improvisée (Nerve Beats, Balls, FMP 144) et KEES HAZEVOET (Unlawful Noise, Pleasure, etc), acolyte de WILLEM BREUKER. Historique !

HAN BENNINK, batterie / SIMON TOLDMAN, piano / JOACHIM BADENHORST, clarinette

“Sur Parken, HAN BENNINK fait pour la première fois de son nom celui d'une formation : trio. Pour faire suite à une série de concerts, l'enregistrement distribue les preuves de l'entente du batteur et de ses jeunes partenaires, notamment sur un lot d'improvisations (Myckewelk exacerbé ou Flemische March sur lequel BENNINK court après les notes en cascades du pianiste, les rattrape et les avale). Ailleurs, le trio sert des compositions signées de ses membres ou tiré du répertoire de DUKE ELLINGTON. Trois fois il est ainsi donné d'entendre des pièces dues à la collaboration ELLINGTON / BILLY STRAYHORN : Fleurette africaine ; Lady of The Lavendermist, célébrée surtout par le duo BADENHORST / BENNINK aux clarinette basse et cymbales ; et puis, surtout, Ispahan : là, TOLDMAN démontre un jeu d'accords plus subtil quand BADENHORST se fraye un chemin entre les coups vifs assénés par BENNINK” (GUILLAUME BELHOMME / Le Son du Grisli).

Enregistrements publics (1973) de l’incomparable guitariste du disque Miles In The Sky. Douze standards au programme : Love For Sale / All Blues / Oleo / All the Things You Are / Blue Bossa / The Masquerade is Over / etc.

FULCO OTTERVANGER, piano / LIEVEN VAN PEE, contrebasse / SIMON SEGERS, batterie

Le trio belge auquel se confrontait la trompettiste SUSANA SANTOS SILVA sur le disque The Detour Fish en 2014 fait son thème ici de l'ambivalence de toutes choses. Jeux de miroirs en précipice refétant des apparitions soudaines, des répétitions en cascade, des distorsions de formes : le point de départ et le point d'arrivée se confondent parfois comme dans le cas d'un songe dont on ne se rappelle ni le début ni la fin, laissant évasivement flotter en nous un sentiment de persistance et d'éternité.